Ecritures Ludiques
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Re: Ecritures Ludiques
L'arrivé du ribaud se fera en musique,
Il parlera gascon avec son ton lyrique,
Il escaladera la montagne,
Et accueilli d'une haine digne du bagne,
Ce curé appellera,
Et un loup arrivera,
Roi des environs,
Des os casseront,
Un corps de dragon gisait ici même,
Fusil sur l'épaule de cet homme,
Edelweiss dans la bouche inerte,
Sous ce ciel cette scène triste,
Le torrent fit silence pour mieux entendre,
Les anagrammes se remirent dans l'ordre,
Ici l'amour n'existait plus,
Car la bête de Gevaudan était venu.
Il parlera gascon avec son ton lyrique,
Il escaladera la montagne,
Et accueilli d'une haine digne du bagne,
Ce curé appellera,
Et un loup arrivera,
Roi des environs,
Des os casseront,
Un corps de dragon gisait ici même,
Fusil sur l'épaule de cet homme,
Edelweiss dans la bouche inerte,
Sous ce ciel cette scène triste,
Le torrent fit silence pour mieux entendre,
Les anagrammes se remirent dans l'ordre,
Ici l'amour n'existait plus,
Car la bête de Gevaudan était venu.
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Trop beau Uli, ce fut...
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Je ne peux que vous donner ma version, de cette fameuse histoire ....
La bête de Gevaudan…… A ce nom résonne encore à mes oreilles l’histoire que me raconta, un soir de beuverie, un homme taciturne, Gascon d’origine, ancien ribaud de l’Armée du Roi de Lombardie.
A cette époque, les campagnes n’étaient pas sûre et, disait-on, dans certaines régions de montagne, vivaient des créatures entre ciel et terre que même un curé n’aurait point voulu bénir.
Cela commença par une série de découvertes macabres, des animaux d’abord puis des femmes et un enfant au champ nommé Edelweiss, seulement les os sans aucune chair autour, qui conduisit les autorités à organiser des battues.
Dans leur crédulité de gens de la campagne, ils avaient porté leur haine sur cet être qui peuple nos sombres forêts, le loup, pauvre hère, toujours à la merci du moindre pet de travers de la gente bipède.
Armés de fusil, ils sillonnèrent le Pays, traversèrent multes torrents et clairières, sans jamais ne tuer que de pauvre bêtes sans défense, qui sans parler d’Amour, n’en étaient pas à détester l’homme au point de l’occire.
A ce stade de l’histoire, mon narrateur me regarda droit dans les yeux et en se penchant légèrement vers moi comme pour une confidence, il me dit :
- Veux tu que je te dises qui était derrière tout cela petit ?
Et avant que je lui réponde quoique ce soit, il me souffla :
- C’est l’anagramme de gardon.
- Un Dragon, m’écriai-je !
Jamais plus je ne revis mon homme.
Deux textes en 48 heures .... Mais la méningite me guette
La bête de Gevaudan…… A ce nom résonne encore à mes oreilles l’histoire que me raconta, un soir de beuverie, un homme taciturne, Gascon d’origine, ancien ribaud de l’Armée du Roi de Lombardie.
A cette époque, les campagnes n’étaient pas sûre et, disait-on, dans certaines régions de montagne, vivaient des créatures entre ciel et terre que même un curé n’aurait point voulu bénir.
Cela commença par une série de découvertes macabres, des animaux d’abord puis des femmes et un enfant au champ nommé Edelweiss, seulement les os sans aucune chair autour, qui conduisit les autorités à organiser des battues.
Dans leur crédulité de gens de la campagne, ils avaient porté leur haine sur cet être qui peuple nos sombres forêts, le loup, pauvre hère, toujours à la merci du moindre pet de travers de la gente bipède.
Armés de fusil, ils sillonnèrent le Pays, traversèrent multes torrents et clairières, sans jamais ne tuer que de pauvre bêtes sans défense, qui sans parler d’Amour, n’en étaient pas à détester l’homme au point de l’occire.
A ce stade de l’histoire, mon narrateur me regarda droit dans les yeux et en se penchant légèrement vers moi comme pour une confidence, il me dit :
- Veux tu que je te dises qui était derrière tout cela petit ?
Et avant que je lui réponde quoique ce soit, il me souffla :
- C’est l’anagramme de gardon.
- Un Dragon, m’écriai-je !
Jamais plus je ne revis mon homme.
Deux textes en 48 heures .... Mais la méningite me guette
Wahyashifu- Messages : 379
Date d'inscription : 02/11/2013
Localisation : Bergerac
Re: Ecritures Ludiques
Fait à ton rythme, en tout cas tu fais des très beau texteWahyashifu a écrit:
Deux textes en 48 heures .... Mais la méningite me guette
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Je me tente en petit texte.
Le ribaud nommait gascon, vivait au pieds d'une montagne où une créature pleine de haine se cachait. Le curé, ayant peur du loup de la forêt, demanda au roi de ne lui cassait aucun os pour cette peur, ainsi que l'invocation du dragon. Les fusils sur l'épaule, les soldats avaient entendu parler de l'arriver du seigneur des edelweiss et du ciel. Déferlant comme un torrent il utilisa le mot magique, un anagramme d'Amour.
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Hé bé ! On ne l'arrête plus, Uli !! C'est bien ! L'inspiration est dans l'air... alors, Shifu à qui le tour maintenant ?
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Je pense que le mieux serait de rendre la main ( elle est dans la poche à qui d'ailleurs... Vraiment parfois les expressions sont comiques ) à Iti et ainsi il pourrait changer de genre.tilbardaga a écrit:Hé bé ! On ne l'arrête plus, Uli !! C'est bien ! L'inspiration est dans l'air... alors, Shifu à qui le tour maintenant ?
Qu'en pense vous ?
Wahyashifu- Messages : 379
Date d'inscription : 02/11/2013
Localisation : Bergerac
Re: Ecritures Ludiques
OUI pour ITI !
ITI:bounce: ! ITI ! ITI ...... KAR
ITI:bounce: ! ITI ! ITI ...... KAR
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Merci
Vous l'aurez voulu ! Maintenant que vous maîtrisez l'écriture sur mots imposés dans l'ordre et dans le désordre, je vais passer donc à un exercice de difficulté intermédiaire.
En répondant à cette exercice (je terminerais par mon texte pour ne pas vous influencer) , j'ai voulu prouver - en y réussissant ou pas - que comme le cinéma l'écriture pouvait être dangereuse et malsaine, à un point assez paroxysmique d'ailleurs, et ce faisant montrer qu'il existait - à tort ou à raison bien sûr - des limites à ne pas dépasser. Que l'écrivain avait la responsabilité de ce qu'il faisait éprouver à son lecteur.
Ce que vous lirez dans le texte réponse que j'avais effectué à l'époque - le troisième exercice pour la communauté - devrait vous surprendre.
Mais pour l'heure, c'est à vous de briller sur ce que nous appelions "le jeu de l'écriture sur image"
53 - Ecriture sur image (proposé par Michel - Faux rêveur)
Laissez votre imagination prendre possession de cette photo (tirée d'un film, mais je ne dirai pas lequel pour ne pas vous orienter), et vous raconter son histoire. Partagez nous cette histoire, quelle qu'elle soit. La seule consigne est d'essayer de surprendre, autant que possible.
Vous l'aurez voulu ! Maintenant que vous maîtrisez l'écriture sur mots imposés dans l'ordre et dans le désordre, je vais passer donc à un exercice de difficulté intermédiaire.
En répondant à cette exercice (je terminerais par mon texte pour ne pas vous influencer) , j'ai voulu prouver - en y réussissant ou pas - que comme le cinéma l'écriture pouvait être dangereuse et malsaine, à un point assez paroxysmique d'ailleurs, et ce faisant montrer qu'il existait - à tort ou à raison bien sûr - des limites à ne pas dépasser. Que l'écrivain avait la responsabilité de ce qu'il faisait éprouver à son lecteur.
Ce que vous lirez dans le texte réponse que j'avais effectué à l'époque - le troisième exercice pour la communauté - devrait vous surprendre.
Mais pour l'heure, c'est à vous de briller sur ce que nous appelions "le jeu de l'écriture sur image"
53 - Ecriture sur image (proposé par Michel - Faux rêveur)
Laissez votre imagination prendre possession de cette photo (tirée d'un film, mais je ne dirai pas lequel pour ne pas vous orienter), et vous raconter son histoire. Partagez nous cette histoire, quelle qu'elle soit. La seule consigne est d'essayer de surprendre, autant que possible.
itikar- Messages : 2681
Date d'inscription : 24/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Écriture sur image, ahahah,
Le pire truc qui puisse arriver (enfin non j'exagère)
Alors essayons:
"Toute mon enfance j'ai été privée de mes libertés, je n'ai jamais, jusqu'à ce jour, m'exprimer librement.
Retournons à cette époque, comme ça vous verrez ce que j'ai du endurer pendant des années.
Ma vie était monotone, toujours à me soumettre au moindre volonté de mes parents, sans jamais avoir le droit de parler sans autorisation et quand je parlais je ne pouvais dire que ce qu'il voulait entendre. Le seul point positif c'est qu'il n'ont jamais levé la main sur moi, mais ils m'ont fait subir la plus horrible torture, seul qui agit sur le moral.
Je faisais tout, le ménage, la cuisine, le lavage, les lits. Quand je sortais je sortais que en compagnie de mes parents, sans parler des interdictions tel que celle de prendre du plaisir que je n'ai vraiment connu l'année dernière, ainsi que les reproche qu'ils me faisaient quand je pleurais: "tu veux vraiment rabaisser la famille! ici on ne veut pas de ah j'ai peur!!". Je me suis souvent dis que c'était pour m'habituer à la vie, mais ce n'était que pour continuer d'aimer mes parents, qu'elle petite fille ou même petit garçon pourrai dénigrer ses parents, hein?
Ma vie n'a toujours était que ça, mon salut je le dois à l'homme que j'aime, celui qui m'a aidé à fuir de chez moi. Vous me direz que c'est une preuve de lâcheté de fuir, que j'aurai du m'imposer face à mes parents, mais après 22 ans de "formatage", ça fais comme les jeunesses hitlériennes donc je ne pouvais rien faire d'autre. Et c'est une preuve de courage malgré tout, car même torturais par ses parents, c'est une action dure à accomplir et avec un grand risque de représailles.
Vous savez des choses que personne sait sur la jeunesse, à vous de voir ce que vous en ferez, car dans tous les cas je ne répéterais pas, ça me fais déjà assez mal comme ça. Et pas du mal parce que je repense à ces événements mais causé par le manque de mes parents."
Le pire truc qui puisse arriver (enfin non j'exagère)
Alors essayons:
"Toute mon enfance j'ai été privée de mes libertés, je n'ai jamais, jusqu'à ce jour, m'exprimer librement.
Retournons à cette époque, comme ça vous verrez ce que j'ai du endurer pendant des années.
Ma vie était monotone, toujours à me soumettre au moindre volonté de mes parents, sans jamais avoir le droit de parler sans autorisation et quand je parlais je ne pouvais dire que ce qu'il voulait entendre. Le seul point positif c'est qu'il n'ont jamais levé la main sur moi, mais ils m'ont fait subir la plus horrible torture, seul qui agit sur le moral.
Je faisais tout, le ménage, la cuisine, le lavage, les lits. Quand je sortais je sortais que en compagnie de mes parents, sans parler des interdictions tel que celle de prendre du plaisir que je n'ai vraiment connu l'année dernière, ainsi que les reproche qu'ils me faisaient quand je pleurais: "tu veux vraiment rabaisser la famille! ici on ne veut pas de ah j'ai peur!!". Je me suis souvent dis que c'était pour m'habituer à la vie, mais ce n'était que pour continuer d'aimer mes parents, qu'elle petite fille ou même petit garçon pourrai dénigrer ses parents, hein?
Ma vie n'a toujours était que ça, mon salut je le dois à l'homme que j'aime, celui qui m'a aidé à fuir de chez moi. Vous me direz que c'est une preuve de lâcheté de fuir, que j'aurai du m'imposer face à mes parents, mais après 22 ans de "formatage", ça fais comme les jeunesses hitlériennes donc je ne pouvais rien faire d'autre. Et c'est une preuve de courage malgré tout, car même torturais par ses parents, c'est une action dure à accomplir et avec un grand risque de représailles.
Vous savez des choses que personne sait sur la jeunesse, à vous de voir ce que vous en ferez, car dans tous les cas je ne répéterais pas, ça me fais déjà assez mal comme ça. Et pas du mal parce que je repense à ces événements mais causé par le manque de mes parents."
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Bien joue Uli c est conforme a l exercice je valide
itikar- Messages : 2681
Date d'inscription : 24/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Ah vraiment, c'est conforme, bon beh que dire, bon courage à ce qui tente, moi je vous laisse un moment
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Il y a trois "moi" en nous. Le 1er est appelé "moi basique", qui est "l'enfant" : Fait d'intuitions, d'instinct de survie (très pratique en cas de combat), de sensibilité, il permet de voir les auras, les êtres des autres plans, de communiquer avec la Nature, de vivre avec ses émotions sans les refouler. Authentique, sans aucun concept intellectuel, il n'est que pures sensations (les 6 sens). Ce "moi" là est très présent chez les jeunes enfants.
Puis, le 2ème ; il est appelé "moi conscient". Celui là est fait de logique, d'analyses, d'intellectualisation. C'est la compréhension rationnelle, qui organise, construit, range, classe, étiquette, ordonne et enferme TOUT dans des petites cases appelées concepts intellectuels. Il est bourré de limites, de barrières, de "bienséance", de politesse et de politique, d'hypocrisie et de déni. Ce "moi" là se construit au fur à mesure que l'enfant grandit.
L'âge adulte atteint, le "moi basique", chez la plupart des gens, est bâillonné, voire, enterré, piétiné. Alors, triste, fâché, il donne des coups de pieds pour prouver son existence. C'est ce qu'on appelle la somatisation = le corps physique tombe malade, conséquence de la tristesse du "moi basique" bâillonné ; de son cri muet, il hurle son existence et ce hurlement ébranle le corps émotionnel ; cet effondrement entretiendra l'atteinte physique. La maladie, c'est autant de coups de pied du "moi basique", autant de cris non entendus.
Chez les artistes, les marginaux, les rêveurs, les drogués, les médiums, les allumés spirituels, les schizophrènes, les trisomiques, etc... le "moi basique" règne en maitre et fait la loi... le "moi conscient" n'a plus qu'à se taire. La plupart de ceux-là sont déconnectés avec la réalité, certains internés en psychiatrie, d'autres partent à la dérive, d'autres encore se détruisent.
Chez les femmes ou les personnes "féminines", le "moi basique" est plus libre. Elles peuvent mieux écouter leur intuition et la respectent, voir ou communiquer avec des choses dites invisibles. Les êtres des autres plans passent par notre "moi basique" pour communiquer, à l'instar de la télépathie. Si ils veulent communiquer avec des personnes dont le "moi basique" est opprimé, alors, ils se servent du terrain onirique : Car lorsqu'on rêve, les deux "moi" se retrouvent connectés...
Devenir un Etre humain est de pousser la connaissance de soi si loin que le "moi basique" et le "moi conscient" travaillent main dans la main, l'un utile à l'autre et non l'un craignant l'autre ou l'un bâillonnant l'autre. Lorsque ce conflit intérieur est réglé, la paix intérieure fleurit et enfin, le 3ème "moi" = le "moi supérieur" se manifeste ; cette manifestation mène à la compréhension absolue de nous mêmes, et par là même, celle de l'Univers.
Voici comment élever la conscience et atteindre l'intégralité de Soi : La réunion des trois "Moi"... et le travail commence par enlever le bâillon à l'enfant qu'on appelle "Moi basique".
tin tin tin !!!
Puis, le 2ème ; il est appelé "moi conscient". Celui là est fait de logique, d'analyses, d'intellectualisation. C'est la compréhension rationnelle, qui organise, construit, range, classe, étiquette, ordonne et enferme TOUT dans des petites cases appelées concepts intellectuels. Il est bourré de limites, de barrières, de "bienséance", de politesse et de politique, d'hypocrisie et de déni. Ce "moi" là se construit au fur à mesure que l'enfant grandit.
L'âge adulte atteint, le "moi basique", chez la plupart des gens, est bâillonné, voire, enterré, piétiné. Alors, triste, fâché, il donne des coups de pieds pour prouver son existence. C'est ce qu'on appelle la somatisation = le corps physique tombe malade, conséquence de la tristesse du "moi basique" bâillonné ; de son cri muet, il hurle son existence et ce hurlement ébranle le corps émotionnel ; cet effondrement entretiendra l'atteinte physique. La maladie, c'est autant de coups de pied du "moi basique", autant de cris non entendus.
Chez les artistes, les marginaux, les rêveurs, les drogués, les médiums, les allumés spirituels, les schizophrènes, les trisomiques, etc... le "moi basique" règne en maitre et fait la loi... le "moi conscient" n'a plus qu'à se taire. La plupart de ceux-là sont déconnectés avec la réalité, certains internés en psychiatrie, d'autres partent à la dérive, d'autres encore se détruisent.
Chez les femmes ou les personnes "féminines", le "moi basique" est plus libre. Elles peuvent mieux écouter leur intuition et la respectent, voir ou communiquer avec des choses dites invisibles. Les êtres des autres plans passent par notre "moi basique" pour communiquer, à l'instar de la télépathie. Si ils veulent communiquer avec des personnes dont le "moi basique" est opprimé, alors, ils se servent du terrain onirique : Car lorsqu'on rêve, les deux "moi" se retrouvent connectés...
Devenir un Etre humain est de pousser la connaissance de soi si loin que le "moi basique" et le "moi conscient" travaillent main dans la main, l'un utile à l'autre et non l'un craignant l'autre ou l'un bâillonnant l'autre. Lorsque ce conflit intérieur est réglé, la paix intérieure fleurit et enfin, le 3ème "moi" = le "moi supérieur" se manifeste ; cette manifestation mène à la compréhension absolue de nous mêmes, et par là même, celle de l'Univers.
Voici comment élever la conscience et atteindre l'intégralité de Soi : La réunion des trois "Moi"... et le travail commence par enlever le bâillon à l'enfant qu'on appelle "Moi basique".
tin tin tin !!!
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Très joli,
Bravo clap clap clap
Tu les trouve ou tes idées?
Bravo clap clap clap
Tu les trouve ou tes idées?
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
hi! hi! hi! en fait, pour ce texte, même si c'est moi qui l'ai pondu, ce ne sont pas mes idées, mais mes expériences méditatives ainsi que celles des milliers d'autres personnes qui pratiquent... Les trois "moi" est une réalité et la somatisation aussi.
bon, je vais pioncer...
je vous embrasse tous !
bon, je vais pioncer...
je vous embrasse tous !
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
tilbardaga a écrit:hi! hi! hi! en fait, pour ce texte, même si c'est moi qui l'ai pondu, ce ne sont pas mes idées, mais mes expériences méditatives ainsi que celles des milliers d'autres personnes qui pratiquent... Les trois "moi" est une réalité et la somatisation aussi.
bon, je vais pioncer...
je vous embrasse tous !
Ah ok, bonne nuit et à+
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Très joli texte, et je dois dire qu'il ma tellement étonné que je crois bien que j'ai failli croire que tu voulais parler de toute autre chose ... C'est le fait que tu parles de l'enfant bâillonné qui m'a fait comprendre que tu répondais à l'exercice .. avec brio !
Bref, côté étonnement c'est mention super bien !
Moi, je dis clap clap clap, et tu prends cher Titi le cheminement de la victoire sur cet exercice là ^^^
quoique les autres n'ont pas encore tous participé ...
Je donne comme promis le texte que j'avais écris à ce sujet ...
**************************
Laissez votre imagination prendre possession de cette photo (tirée d'un film, mais je ne dirai pas lequel pour ne pas vous orienter), et vous raconter son histoire. Partagez nous cette histoire, quelle qu'elle soit. La seule consigne est d'essayer de surprendre, autant que possible
***
Le sursis de Nelly
La fillette était terrorisée. Il faisait noir dans le coffre placard où on l'avait enfermé, et elle trouvait que les cordes qui maintenaient ses petits poignets derrière son dos la serrait trop fort. Impossible de se libérer toute seule.En plus, il lui semblait que cela faisait des heures qu'elle attendait là, toute engourdie. Ses agresseurs lui scotchèrent même brutalement la bouche pour qu'elle ne puisse pas crier.Quoi qu'ils lui fassent subir.Elle était bien malheureuse et aurait volontiers tout donné pour être ailleurs.Même sa collection de poupée Barbie ... enfin, ce qu'il en restait après le passage de ses deux détestables grands frères.C'était bien de leur faute tout ça ! S’ils ne l’avaient pas entraîné près du bois à l'écart de la maison dans le petit cagibi du fin fond du jardin pour une partie de cache-cache improvisée rien de tout cela ne se serait passé.
Le jeu avait mal tourné juste au moment où elle allait se retourner pour commencer les recherches. Car Soudain, un sac en jute avait recouvert son visage, on prit ses mains et les ligotèrent brutalement, et elle avait sentit quelque chose de collant se plaquer sur sa bouche. Puis, la belle enfant avait été fortement poussée en arrière dans le coffre contre lequel elle avait compté jusqu'à cent. Rapidement, le couvercle s'était abattu puis une clé a joué dans un cadenas. Elle était depuis enfermée dans le sombre et étroit habitacle.
Les trois enfants vivaient seuls avec leur mère depuis la mort de leur père et celle-ci, une jeune mère courage ne pouvait pas être partout.Hélas. Nelly avait quitté la maison en robe de chambre - une simple nuisette de toute jeune fille pré pubère - et elle commençait à trembler de froid, les fesses nues assises à même l'eau qui croupissait sur le sol du réduit où ses tortionnaires l'avaient jetté.Probablement en attendant de décider ce qu'ils allaient finalement faire d'elle.
"Quand est-ce qu'ils reviendraient?" se demandait-elle d'avance effrayée par tous les sévices qui l'attendait sûrement.Elle pleurait.De froid, de peur et de désarroi.Elle saignait du bras.Beaucoup. La blessure la brûlait et elle voulait de l'aide, et un éploré "sauve-moi de ces fous, petite maman" serait sorti de sa bouche susurrante s'il n'y avait pas eu le ruban adhésif... Et où étaient ses frères songeaient-elles à cet instant précis ? probablement loin de là, n'ayant que faire de ses tourments, à jouer à un de leur jeu de combat stupide à la console du salon de la maison ...
Elle risqua un coup d'oeil par l'unique fente qui lui apportait un peu de lumière, timidement. Son visage encore mouillé de larmes blanchit soudain de terreur.Un faciès patibulaire la regardait en ce moment même par le trou de la fenêtre du cagibi. Marqué de nombreuses balafres, il était sale et appartenait à un homme dans la force de l'âge. Instantanément Nelly fut glacée par le regard mauvais qui la dévisageait.La brute eut un rictus sordide avant de disparaître de son maigre champ de vision.Elle s'anéantissait à l'idée de bientôt être violentée par cet homme des bois terrifiant.C'était encore une petite fille. Elle n'avait que treize ans et n'avait pas envie d'être approchée par un homme de cet age. Les secondes, toutes plus terrifiantes les unes que les autres, s'égrenèrent.Puis les minutes. Nelly regardait toujours par l'entrebâillure et elle vit finalement le rustre hideux dans son champ de vision.
D'un pas rapide et déterminé il fut bientôt juste au-dessus de la caisse en bois prison dans laquelle elle s’était recroquevillée.Sa main inséra la clé rouillée dans la serrure et bientôt elle comprit que le cadenas était défait et son sursis terminé.
Lorsque l’inconnu ouvrit le coffre, elle vit qu’il faisait jouer de manière perverse sa langue dans sa bouche. Derrière cette scène, au dehors, elle entendit ses deux frères pleurer.Et sa mère crier non loin de là. L’homme aux cent balafres se saisi d’elle.Sous le choc de la chose, elle hurlait des cris d’orfraies en tentant vainement de s’agripper aux rebords du coffre.
C’est toute décomposé et en furie que la mère de Nelly entra dans la cabane du jardinier. Celui-ci, en bon serviteur, remit l’enfant à sa maman. Il lui sourit puis s’adressa, l’air grave, à la jeune mère avec son patois du coin :
« M’dem, j’sai bin qu’ca ne me regarde pas, mais vous ferez bien de dir’ à vos gamins de plus enfermer leur ptite sœur ici … Y’a dans les bois de sacré lascars qui rodent si vous voyez ce que j’veu dir … Faites gaffe ! !»
******************************************************
A qui le tour ?
Bref, côté étonnement c'est mention super bien !
Moi, je dis clap clap clap, et tu prends cher Titi le cheminement de la victoire sur cet exercice là ^^^
quoique les autres n'ont pas encore tous participé ...
Je donne comme promis le texte que j'avais écris à ce sujet ...
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Laissez votre imagination prendre possession de cette photo (tirée d'un film, mais je ne dirai pas lequel pour ne pas vous orienter), et vous raconter son histoire. Partagez nous cette histoire, quelle qu'elle soit. La seule consigne est d'essayer de surprendre, autant que possible
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Le sursis de Nelly
La fillette était terrorisée. Il faisait noir dans le coffre placard où on l'avait enfermé, et elle trouvait que les cordes qui maintenaient ses petits poignets derrière son dos la serrait trop fort. Impossible de se libérer toute seule.En plus, il lui semblait que cela faisait des heures qu'elle attendait là, toute engourdie. Ses agresseurs lui scotchèrent même brutalement la bouche pour qu'elle ne puisse pas crier.Quoi qu'ils lui fassent subir.Elle était bien malheureuse et aurait volontiers tout donné pour être ailleurs.Même sa collection de poupée Barbie ... enfin, ce qu'il en restait après le passage de ses deux détestables grands frères.C'était bien de leur faute tout ça ! S’ils ne l’avaient pas entraîné près du bois à l'écart de la maison dans le petit cagibi du fin fond du jardin pour une partie de cache-cache improvisée rien de tout cela ne se serait passé.
Le jeu avait mal tourné juste au moment où elle allait se retourner pour commencer les recherches. Car Soudain, un sac en jute avait recouvert son visage, on prit ses mains et les ligotèrent brutalement, et elle avait sentit quelque chose de collant se plaquer sur sa bouche. Puis, la belle enfant avait été fortement poussée en arrière dans le coffre contre lequel elle avait compté jusqu'à cent. Rapidement, le couvercle s'était abattu puis une clé a joué dans un cadenas. Elle était depuis enfermée dans le sombre et étroit habitacle.
Les trois enfants vivaient seuls avec leur mère depuis la mort de leur père et celle-ci, une jeune mère courage ne pouvait pas être partout.Hélas. Nelly avait quitté la maison en robe de chambre - une simple nuisette de toute jeune fille pré pubère - et elle commençait à trembler de froid, les fesses nues assises à même l'eau qui croupissait sur le sol du réduit où ses tortionnaires l'avaient jetté.Probablement en attendant de décider ce qu'ils allaient finalement faire d'elle.
"Quand est-ce qu'ils reviendraient?" se demandait-elle d'avance effrayée par tous les sévices qui l'attendait sûrement.Elle pleurait.De froid, de peur et de désarroi.Elle saignait du bras.Beaucoup. La blessure la brûlait et elle voulait de l'aide, et un éploré "sauve-moi de ces fous, petite maman" serait sorti de sa bouche susurrante s'il n'y avait pas eu le ruban adhésif... Et où étaient ses frères songeaient-elles à cet instant précis ? probablement loin de là, n'ayant que faire de ses tourments, à jouer à un de leur jeu de combat stupide à la console du salon de la maison ...
Elle risqua un coup d'oeil par l'unique fente qui lui apportait un peu de lumière, timidement. Son visage encore mouillé de larmes blanchit soudain de terreur.Un faciès patibulaire la regardait en ce moment même par le trou de la fenêtre du cagibi. Marqué de nombreuses balafres, il était sale et appartenait à un homme dans la force de l'âge. Instantanément Nelly fut glacée par le regard mauvais qui la dévisageait.La brute eut un rictus sordide avant de disparaître de son maigre champ de vision.Elle s'anéantissait à l'idée de bientôt être violentée par cet homme des bois terrifiant.C'était encore une petite fille. Elle n'avait que treize ans et n'avait pas envie d'être approchée par un homme de cet age. Les secondes, toutes plus terrifiantes les unes que les autres, s'égrenèrent.Puis les minutes. Nelly regardait toujours par l'entrebâillure et elle vit finalement le rustre hideux dans son champ de vision.
D'un pas rapide et déterminé il fut bientôt juste au-dessus de la caisse en bois prison dans laquelle elle s’était recroquevillée.Sa main inséra la clé rouillée dans la serrure et bientôt elle comprit que le cadenas était défait et son sursis terminé.
Lorsque l’inconnu ouvrit le coffre, elle vit qu’il faisait jouer de manière perverse sa langue dans sa bouche. Derrière cette scène, au dehors, elle entendit ses deux frères pleurer.Et sa mère crier non loin de là. L’homme aux cent balafres se saisi d’elle.Sous le choc de la chose, elle hurlait des cris d’orfraies en tentant vainement de s’agripper aux rebords du coffre.
C’est toute décomposé et en furie que la mère de Nelly entra dans la cabane du jardinier. Celui-ci, en bon serviteur, remit l’enfant à sa maman. Il lui sourit puis s’adressa, l’air grave, à la jeune mère avec son patois du coin :
« M’dem, j’sai bin qu’ca ne me regarde pas, mais vous ferez bien de dir’ à vos gamins de plus enfermer leur ptite sœur ici … Y’a dans les bois de sacré lascars qui rodent si vous voyez ce que j’veu dir … Faites gaffe ! !»
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A qui le tour ?
itikar- Messages : 2681
Date d'inscription : 24/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Hi !hi! Prenant !! mais en fait, comme tu nous l'avais prévenus, je m'en doutais, que ce n'était pas si grave ! j'ai même cru à un moment donné que tu allais écrire : "Nelly se réveilla en nage et en pleurant, parce qu'elle avait fait pipi au lit et avait les fesses mouillées."
Très réussi, bravo !!!
Wayha est à Bordeaux pour un congrès d'acupuncture... et demain aussi. Donc, pas de post de lui.. mais quand il a vu la proposition de ton exercice, il a remué tête et mains et il a dit :"TROP Dur, trop dur pour moi !!!". C'est quand il m'a décrit l'image que tu avais postée dans la voiture qui nous ramenait à la maison, hier soir, que j'ai eu mon idée de texte...
Très réussi, bravo !!!
Wayha est à Bordeaux pour un congrès d'acupuncture... et demain aussi. Donc, pas de post de lui.. mais quand il a vu la proposition de ton exercice, il a remué tête et mains et il a dit :"TROP Dur, trop dur pour moi !!!". C'est quand il m'a décrit l'image que tu avais postée dans la voiture qui nous ramenait à la maison, hier soir, que j'ai eu mon idée de texte...
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Oui, je vous avais prévenu, j'avais peur de vous terroriser sinon
C'est aussi une manière d'illustrer le pouvoir des mots, voire leur danger ... J'aurais pu terminer tout autrement, ce qui ferait du texte un truc vraiment glaçant (et malsain) à lire.
Enfin, j'ai voulu aussi rappeler qu'il fallait se méfier des préjugés (le jardinier est en fait un homme tout à fait sain, et pas du tout le malade qu'on imagine avec le champ lexical que j'ai utilisé) . Ici, c'est ce que je n'ai pas écrit qui raconte l'histoire. J'appelle cela "lire entre les lignes"
Après que les deux frères aient enfermés leur petite sœur dans le cagibi pour lui faire une sale blague et s'amuser dans les bois, la mère s'est inquiétée car elle ne trouvait plus ses chérubins. Elle a demandé à son jardinier si il ne les avait pas vu, et il s'est donc mis à la recherche des enfants jusqu'à cette cabane au fond des bois ... Lorsqu'il a regardé par la fenêtre pour voir à l'intérieur du cagibi, cela a coïncidé avec le moment où Nelly a entrebâillé le couvercle.Leur regard se sont croisés, et d'un coup d’œil le jardinier a vu que la clé n'était pas là et que le coffre était fermé. Il a évidemment tout de suite compris que les garnements avaient la clé. Les longues minutes du "sursis" de Nelly ont coïncidé avec le temps qu'a mis le jardinier à avertir la mère, et à elle de remettre la main sur ses fils pour récupérer la clé afin de la confier au jardinier pour qu'il ouvre le coffre (c'est chez lui après tout) et leur donner une fessée bien méritée.D'où le fait que Nelly entende ses frères pleurer. D'où évidemment le fait que sa mère est scandalisée.
J'adore raconter mes histoires entre les lignes ...
C'est aussi une manière d'illustrer le pouvoir des mots, voire leur danger ... J'aurais pu terminer tout autrement, ce qui ferait du texte un truc vraiment glaçant (et malsain) à lire.
Enfin, j'ai voulu aussi rappeler qu'il fallait se méfier des préjugés (le jardinier est en fait un homme tout à fait sain, et pas du tout le malade qu'on imagine avec le champ lexical que j'ai utilisé) . Ici, c'est ce que je n'ai pas écrit qui raconte l'histoire. J'appelle cela "lire entre les lignes"
Après que les deux frères aient enfermés leur petite sœur dans le cagibi pour lui faire une sale blague et s'amuser dans les bois, la mère s'est inquiétée car elle ne trouvait plus ses chérubins. Elle a demandé à son jardinier si il ne les avait pas vu, et il s'est donc mis à la recherche des enfants jusqu'à cette cabane au fond des bois ... Lorsqu'il a regardé par la fenêtre pour voir à l'intérieur du cagibi, cela a coïncidé avec le moment où Nelly a entrebâillé le couvercle.Leur regard se sont croisés, et d'un coup d’œil le jardinier a vu que la clé n'était pas là et que le coffre était fermé. Il a évidemment tout de suite compris que les garnements avaient la clé. Les longues minutes du "sursis" de Nelly ont coïncidé avec le temps qu'a mis le jardinier à avertir la mère, et à elle de remettre la main sur ses fils pour récupérer la clé afin de la confier au jardinier pour qu'il ouvre le coffre (c'est chez lui après tout) et leur donner une fessée bien méritée.D'où le fait que Nelly entende ses frères pleurer. D'où évidemment le fait que sa mère est scandalisée.
J'adore raconter mes histoires entre les lignes ...
itikar- Messages : 2681
Date d'inscription : 24/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Très très Jolie, c'est de Grand Art
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Et oui, c'est comme ça que j'ai imaginé la scène en RELISANT avec un tout autre esprit que celui de la première lecture... Comme quoi, nos interprétations mentales nous mènent par le bout du nez !!! Illusions que tout ça. Merci Iti pour le grand moment, j'aime ton intelligence et ta gentillesse
tilbardaga- Messages : 1817
Date d'inscription : 22/09/2013
Re: Ecritures Ludiques
Deux jours de congrès sur les aiguilles m'a laissé un peu sec sur l'inspiration littéraire, d'autant que je trouves ton exo. pas facile.
De plus, suis pas vraiment bon dans le dramatique. Lorsque je faisais du théâtre, il fallait toujours un texte où il faisait bon de faire le pitre .... D'ailleurs, vous l'avez tous remarqué que je suis marié à un .
Afin que vous puissiez continuez ce super Post, je vous livre mon petit texte :
« Mmm….. mm…. Mmm… mmmM ! »
Pourquoi m’avez-vous bâillonnée ?
Peur d’entendre la vérité, de relever les injustices et l’intolérance.
Crainte de recevoir un message contraire à votre mode de pensée, à voir les choses sous un angle différent.
Tout un chacun à le droit de s’exprimer, quelque soit son opinion, libre à vous de recevoir le message ou pas.
Tout cela me rend triste …..
« Pamphlet pour la liberté d’expression. »
Bon Dimanche !
De plus, suis pas vraiment bon dans le dramatique. Lorsque je faisais du théâtre, il fallait toujours un texte où il faisait bon de faire le pitre .... D'ailleurs, vous l'avez tous remarqué que je suis marié à un .
Afin que vous puissiez continuez ce super Post, je vous livre mon petit texte :
« Mmm….. mm…. Mmm… mmmM ! »
Pourquoi m’avez-vous bâillonnée ?
Peur d’entendre la vérité, de relever les injustices et l’intolérance.
Crainte de recevoir un message contraire à votre mode de pensée, à voir les choses sous un angle différent.
Tout un chacun à le droit de s’exprimer, quelque soit son opinion, libre à vous de recevoir le message ou pas.
Tout cela me rend triste …..
« Pamphlet pour la liberté d’expression. »
Bon Dimanche !
Wahyashifu- Messages : 379
Date d'inscription : 02/11/2013
Localisation : Bergerac
Re: Ecritures Ludiques
Félicitation SHIFU, titi disait que tu disais (ça fait beaucoup de dire) et du coup à dire des chose j'ai oublié ce que je devais dire
Très joliment magnifique
Très joliment magnifique
Ulikiras- Messages : 1189
Date d'inscription : 22/09/2013
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